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ref:topbtw-1317.html/ 14 Luglio 2018/A

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Nota dell'Editore.

« toute allégation ou imputation d’un fait dépourvu d’éléments vérifiables de nature à la rendre vraisemblable ».

Dio esiste ?

Un Dio qualsiasi, preso a caso..

Pescato dal mazzo degli Dei, grandi, piccoli e piccini, vecchi e nuovi ?

Con la nuova Legge in approvazione, qualsiasi Giudice francese potrà sentenziare che:
Dio non esiste.

A termine di Legge è una "fake news" bella e buona..

Mancano prove provate della sua esistenza..

Ed era ora ! Sono secoli che avevamo questo dubbio..

Ma allora, se non esiste, perchè Diavolo continuano a propinarci questa Fake News ?

Ed allora ben venga la chiusura immediata dei canali televisivi, dei canali web di predicatori di ogni razza, inclusi i barbuti vari, sia con turbante che con la tiara che con il cappellino in stile kippah, imama, e via di questo passo..

Sarà un giudice Francese a liberarci da Dio ?

Attendiamo la prima illuminata Sentenza ..


FRANCIA

Macron: al via le leggi liberticide
Vote de la loi « fake news »:

l’hiver vient

Paris -

L'euphorie footballistique de ces derniers jours a couvert trois affaires liberticides pour les libertés publiques :
la saisie de la dotation du Rassemblement national, l’affaire du « délit de solidarité » et le vote de la loi « fake news ».

Cette dernière est totalement contraire au respect des droits de l’homme et aux principes de la République…

Depuis plusieurs mois, le président Emmanuel Macron et certains de ses ministres nous ont annoncé le dépôt d’un projet de loi destiné à lutter contre les « fake news ».
On a entendu le président de la République nous dire « qu’ en cas de propagation d’une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge à travers une nouvelle action en référé, permettant, le cas échéant, de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l’accès au site Internet ».

Le juge des référés, juge de l’évidence, nouveau dépositaire de la vérité objective !

Et disposant ainsi d’un droit de vie et de mort sur les médias sur la base de la simple accusation de « diffusion de fausses nouvelles ».

Taisez-vous Elkabbach (et tous les autres aussi) !

Finalement, Emmanuel Macron a jugé plus prudent que ce soit le groupe majoritaire qui saisisse l’Assemblée nationale d’une proposition d’abord intitulée « lutte contre les fausses nouvelles » puis « loi contre la manipulation de l’information ».

La lecture de l’exposé des motifs et du texte lui-même est atterrante et ne peut que provoquer l’inquiétude de tous ceux qui sont attachés aux libertés publiques fondamentales.

En particulier, à la plus importante d’entre elles :
celle de la liberté de pensée et d’expression.

Si ce texte était adopté, il constituerait une régression insupportable, et ouvrirait la voie à ce qui semble être l’objectif principal :
empêcher l’expression sur Internet d’opinions qui ne seraient pas validées par le pouvoir et/ou par des instances médiatiques sélectionnées par ce dernier.

Or la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, partie intégrante de notre Constitution, garantit cette liberté fondamentale.

Dans son interprétation, à l’occasion de l’arrêt concernant la fameuse loi Gayssot, le Conseil constitutionnel a admis qu’il puisse exister des limitations à celle-ci.

Mais en exigeant « que les atteintes portées à l’exercice de cette liberté doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées à l’objectif poursuivi ».

Or, ce qui est envisagé aujourd’hui excède largement le cadre posé par le juge constitutionnel.

Françoise Nyssen, ministre de la Culture, n’a pas fait mystère du point de vue idéologique qui sous-tend cette initiative décidée par Emmanuel Macron, en déclarant publiquement que
« la capacité de discernement des citoyens ne suffit plus »
et qu’il
« faut former les citoyens ».

À la vérité officielle ?
La ministre se place frontalement à contre-courant de l’héritage des Lumières, de l’héritage de la Révolution française et de toutes les traditions de notre pays.

Ce legs de la liberté d’expression est incompatible avec la définition de la
« fausse nouvelle »
définie par l’article premier de la proposition de loi comme
« toute allégation ou imputation d’un fait dépourvu d’éléments vérifiables de nature à la rendre vraisemblable ».
Pardon ?

Si j’affirme par exemple que Dieu existe, je ne peux fournir bien sûr aucun élément de preuve, vais-je tomber sous le coup de ce texte ?

L’hiver se prépare l’été

Tous les commentateurs honnêtes ont relevé son caractère liberticide.

Profitant d’un hémicycle aux trois quarts vides, les manipulateurs du groupe LREM ont franchi la première étape et fait nuitamment voter le texte.

Il est prévu que ces amoureux d’Anastasie profitent de l’été pour finaliser leur méfait.

Les optimistes vont nous répondre que le Conseil constitutionnel ne laissera pas passer.

C’est une plaisanterie.
Nous avons vu le peu de cas que cette institution fait des principes républicains.

Courtesy by Régis de Castelnau


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