Dichiarazioni, dichiarazioni, e fondi per una gioventù che non vedrà mai un quattrino..
Perché nessuno ha mai verificato i risultati veri, pratici, di incontri, congressi, forum e di tutte le solite frivolezze "di sostegno" ai paesi poveri..
Che infatti restano sempre poveri, come prima, e magari anche più di prima..
Les ministres et chefs de délégation africains présents du 10 au 12 février lors de la troisième édition du Forum africain pour la science,
la technologie et l’innovation (STI) au Caire, en Égypte, se sont engagés à aider la jeunesse africaine à créer la société de demain grâce à l’innovation.
D’après la « Déclaration du Caire » sur laquelle s’est conclu le Forum, les STI devraient figurer parmi les priorités
des programmes de développement à l’échelle nationale, régionale et continentale.
Samedi 10 janvier 2018, lors de la cérémonie d’ouverture du forum à laquelle assistaient le président égyptien
Abdel Fattah al-Sissi, des ministres africains, de nombreux chercheurs et partenaires, le président de la
Banque africaine de développement Akinwumi Adesina a déclaré :
Le Forum a promis d’appuyer la mise en place d’un Fonds africain pour l’éducation afin d’attirer des financements durables,
en collaboration avec la Banque africaine de développement, la Banque islamique de développement et d’autres institutions financières.
Les dirigeants se sont quant à eux engagés à aider les petites et moyennes entreprises (PME) dans des domaines innovants tels que
l’électronique, l’informatique, la robotique et les télécommunications, en encourageant notamment le secteur privé à
développer des plateformes et des incubateurs pour les nouvelles entreprises.
La Déclaration souligne également la volonté de concevoir et d’adopter des politiques qui encouragent
l’égalité de genre dans l’éducation et l’enseignement supérieur.
« La Banque africaine de développement est prête à collaborer avec les gouvernements africains et les partenaires pour
promouvoir les STI en Afrique.
« La Banque continue à travailler avec ses partenaires pour positionner les STI au cœur du dialogue politique ».
Selon Sarah Anyang Agbor, commissaire de l’Union africaine chargée des ressources humaines,
de la science et de la technologie, la Déclaration du Caire va aider à recadrer et à réorienter les programmes
et les politiques de l’organisme régional.
« Notre plus grand potentiel, c’est le potentiel humain !
Investir dans l’éducation, les compétences techniques et la formation des jeunes demeure un objectif décisif pour nous »,
Yongsoo Hwang, chercheur émérite principal à l’Institut des politiques de la science et de la technologie (STEPI) en Corée,
a pour sa part rappelé le soutien de son pays.
Dans le cadre de ses programmes de promotion de la science, de la technologie et de l’innovation,
la Banque africaine de développement a co-organisé au Caire, avec le gouvernement égyptien,
la troisième édition du Forum africain pour la science, la technologie et l’innovation, sur le thème
L’événement bénéficiait également du soutien du Japon, de la Corée et d’autres partenaires
« L’Afrique doit promouvoir une culture de l’innovation conduite par sa jeunesse ».
L’enseignement des STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) est particulièrement
visé par cet objectif, mais également la participation des étudiants, la formation des enseignants,
le développement professionnel, la dotation en personnel universitaire et administratif, enfin la recherche et le développement.
Elle souhaite endosser un rôle stratégique de mobilisation et travailler méthodiquement avec les pays africains afin d’encourager
les investissements intelligents dans les STI pour la croissance et la compétitivité de l’Afrique »,
a précisé Oley Dibba-Wadda, directrice du capital humain, de la jeunesse et du développement des compétences à la Banque africaine de développement.
L’Afrique est maintenant en mesure de récolter les fruits du dividende démographique,
en particulier les ressources de sa jeunesse, dont l’énergie, la créativité et le courage doivent être les moteurs
du développement africain.
a ajouté madame Agbor, tout en regrettant que certains décideurs ne se soient pas encore engagés à accroître les dépenses
de recherche et de développement afin qu’elles atteignent au moins 1 % du PIB – tel que stipulé dans le Plan d’action de Lagos
notamment, entériné en 1980.
Le gouvernement coréen est ainsi disposé à appuyer les initiatives de transformation de
l’Afrique en faveur de l’industrialisation et de l’amélioration des conditions de vie des populations,
en s’inspirant de propre expérience en matière de transformation socio-économique.
« Les STI pour la compétitivité du secteur privé et la transformation économique de l’Afrique ».
( BAD / G. Comerio )